Bubulle

J'avais déjà abordé la question dans une précédantes chroniques, mais je pense qu'on peut y revenir.
Les enfants, ces ignobles petites larves gesticulantes, représentent l'avenir de l'humanité, et pour cette raison ils méritent amplement d'être massacrés. D'ailleurs, le ridicule ne les tue pas et à les voir crier, pleurer, dire des inepties puériles, on ne peut que penser qu'il serait bon d'abréger l'humanité.
Quel sort leur réserver? Tel ce que les humains font subir à mes amis petits poissons des mers, je pense que nous pourrions attraper enfants et parents pas d'accord, les broyer dans un hachoir à humains, et donner la poudre ainsi obtenu à manger à des adolescents que nous élèverons dans un humanorium. Tassés, gardés derrières des grillages, ils n'auront qu'une chose à faire : manger, manger, pour devenir dodus. Cette situation leur coupe-t-elle l'apétit? Ne veulent-ils pas s'engraisser suffisament vite? Qu'à cela ne tienne : nous prendrons quelques récalcitrants, les torturerons (sans les tuer bien sûr, ça serait trop facile) aux yeux des autres, en continu, pour qu'ils mangent. Et on recommence pour chaque humains ne tenant pas les cadences d'absorbtion de nourriture : ça sera pas bien compliqué pour eux, s'ils veulent pas être torturés il leur suffira de manger.

À la fin du cycle d'élevage, nous prenons la viande qui ressemble alors à une apétéissante boule de graisse (comme ici , mais en plus gros et moins plastifié), plantons une pointe métallique dans la nuque et envoyons une décharge électrique. Sans qu'elle sache que la mort approche, car elle risque de sécréter des substances donnant mauvais goût : pour éviter cela il suffit de l'emmener dans un endroit confortable et faire croire à la fin de son calvaire. Les plus fidèles de Bubulle auront droit à ces mets délicieux amoureusement préparés.

Ce que je ne suis pas :
-Un Léviathan au sens antique du terme. Je suis beaucoup plus puissant, intelligent et plus évolué, fort...
-Un Léviathan au sens de Hobbes. Rappelons que selon ce philosophe anglais l'Etat se devait d'être un Léviathan pour le bien de la sociéte. Je serai un Léviathon pour l'humnaité entière, et juste pour le bien des poissons
-Jeuf. Bien que j'eusses laissé quelques indices pour faire croire que c'était lui qui écrivait mes chroniques, pour le taquiner.

Trop, c'est trop. Il me semble l'avoir déjà dit. Mais on ne le dira jamais assez : il y a trop de bipèdes sur cette planète. C'est pourquoi je propose aujourd'hui un facteur 30 sur la population humaine. Pas un facteur 30 en mutiplication...vous croyez que c'est tenable, 180 milliards? Non, ce qu'il faut, c'est une réduction de la population humaine d'un facteur 30, elle sera alors réduite à deux cent millions d'êtres... que nous réduirons en esclavage, évidemment.

Sauf que depuis l'océan, c'est difficile d'atteindre cet objectif, puisque beaucoup de gens sont loins des côtes et des fleuves, comme on l'a déjà vu. Ca garde quand même otut son intérêt pour les gorsse ville côtière...Il faudra donc employer d'autre moyens. Comme ceux sur lesquels
mon ami Bubulle travaille. Mais il n'y a pas que ça. Les moyens d'occir l'humain, cet être ridicule et fragile, sont très nombreux, et c'est tant mieux pour le spectacle. Donc il faudra se donner les moyens d'atteindre ce facteur 30.

Mais même si un moyen ne peut pas être appliqué à des masses importantes, il peut être très rigolo à voir appliquée à quelques spécimens. Je pensais, par exemple, à l'écorchage vif des possesseurs de manteaux de fourrure. Ou encore l'empalement en série sur tige
métallique chauffée à blanc pour les amateurs de brochettes de poissons. Nous aborderons ces moyens particuliers dans nos prochains propos.